Following preceding papers on the isolation of some Actinomycetes strains in the digestive tract of bees affected with a particular type of "Black disease", the AA. have investigated their presence in healthy bees, as this kind of organisms had never been detected before in the digestive tract. Healthy and sick bees taken from two hives of a same apiary, one normal and the other affected with « Black disease » for 3 years and presenting a considerable and constant mortality, were examined. Actinomycetes were isolated from the healthy as well as from the sick bees. The AA. conc1ude that Actinomycetes are not responsible for « Black disease» for the following reasons: I) Actinomycetes are present in healthy and sick bees in practically the same percentage. 2) Actinomycetes may not be isolated from all the sick bees. 3) The species of Actinomycetes isolated from the sick bees are many and different.

The bacterial flora of the mid-gut of a lot of 100 queen-bees in normal health conditions and taken from different hives was investigated. From 44 queens, 62 isolates of aerobic bacteria were obtained: among them 41 strains were recognized as representatives of the genus Achromobacter while other 18 belong undoutebly to the genus Brevibacterium. The frequency of their incidence in the midguts, the diversity in hosts provenience and the largerly variable conditions of their sampling and expedition are elements sufficient to warrant the conclusion that the bacteria are not harboured incidentally in the mid-gut of these insects but they may multiply although moderately or at least survive in this habitat without any damage fr host organism.

12 planches en lithographie - 12 tables, lithography; Explication des douze planches : PL. 1 : Les abeilles à l'état d'insectes parfaits. Pl. 2 : Les têtes des abeilles. Pl. 3 : Structure particulière de la bouche et de l'antenne de l'ouvrière. Pl. 4 : Les organes de la vue. Pl. 5 : Le thorax et ses appendices. Pl. 6 : Les abdomens, l'appareil sécrétant la cire et les cellules de cire. Pl. 7 : Système et structure des nerfs. Pl. 8 : Appareil digestif. Pl. 9 : Système respiratoire, appareil de la circulation du sang, leur structure et la représentation figurée de la circulation. Pl. 10 : Appareil génital des abeilles. Pl. 11 : L'appareil de l'aiguillon et la structure musculaire. Pl. 12 : L'abeille dans ses périodes de transformations.

SOMMAIRE : 1. Les échanges respiratoires 2. La teneur en eau du corps des abeilles pendant les différentes saison 3. L'influence de la température ambiante sur l'élimination de l'eau par le corps des abeilles 4. Influence de la temperature ambiante sur l'élimination de l'eau par les mouches 5. Chaleur produite par les abeilles 6. L'azote dans le corps des abeilles pendant les différentes saisons 7. Le glycogène 8. Discussion des résultats 9. Conclusions CONTENTS: 1. Respiratory exchanges 2. Water content of honeybees body during the four seasons 3. Influence of room temperature on water elimination by honeybees body 4. Influence of room temperature on water elimination by [mouches] 5. honeybees heat production 6. Nitrogen in honeybees body during the four seasons 7. Glycogen 8. Discussions of results 9. Conclusions; Thèse de doctorat ès Sciences naturelles

SOMMAIRE : Historique. Matériel et méthodes de travail. Localisation de la phérormone. Mode d'action de la phérormone. Nature chimique de la phérormone. Les ouvrières et l'apparition de la phérormone : le cycle de la phérormone. Les interactions sociales et la phérormone. Recherches parallèles effectuées chez les termites, les fourmis et les Halictes. Conclusions générales. /// CONTENTS: History. Materials and methods. Pherormone localisation. Pherormone mode of action. Chemistry of the pherormone. Workers and pherormone: the pherormone cycle. Social interactions and pherormone. Similar researches on termites, ants and Halictes. General conclusions.; Thèse de doctorat ès Sciences naturelles

SOMMAIRE : Histoire chimique de la cire d'abeilles. Technique et méthodes. Origine des mélanges ayant servi à l'extraction des carbures, alcools et acides. Carbures. Alcools. Acides. Forme cristalline. Conclusions. Bibliographie. /// SUMMARY: Chemical history of honeybees wax technique and methods. Origin of mixtures to extract carbures, alcohols and acids. Carbures. Alcohols. Acids. Cristalline form. Conclusions. Bibliography; Thèse de Docteur en Pharmacie

TABLE DES MATIERES : Matériel et méthode. L'influence de l'âge sur les échanges de nourriture entre les ouvrières. L'influence de la durée et de la température sur les échange alimentaires. L'influence du nombre des abeilles présentes dans un groupe sur la répartition de la nourriture. Les échanges de nourriture entre des ouvrières appartenant à des colonies différentes. Transit intestinal et localisation du phosphore 32 dans le corps d'une abeille. Echanges de nourriture entre les ouvrières et les reines vierges et fécondes. Conclusions. /// CONTENTS: Material and method. Influence of age on food exchanges between workers. Influence of duration and temperature on food exchanges. Influence of the number of bees within a group on food dispaching. Food exchanges between workers belonging to different colonies. Intestinal transit and localisation of phosphore 32 in a bee body. Food exchanges between workers and virgin or fecund queens. Conclusions.; Thèse de Doctorat

Thèse, Faculté des Sciences de Paris

On a étudié dans le présent travail les composants cellulaires du sang de l'abeille adulte d'été. Les résultats ont été obtenus avec la méthode des frottis et se rapportent à l'hémolymphe prélevée dans la tète, le thorax et l'abdomen d'abeilles de races et d'âges différents. Les divers éléments cellulaires du sang sont décrits, la nomenclature adoptée est comparée à celle des autres auteurs. Comme éléments nouveaux les prochromatinocytes et les chromatinocytes sont présentés. Ils jouent un rôle important lors de la multiplication des hémocytes (fig. 1). Le rassemblement temporaire de certains éléments cellulaires en des "concentrations d'hémocytes" est apparemment en étroite relation avec des réactions du métabolisme. Suivant l'âge de l'abeille la proportion des différents types de cellules montre une certaine variabilité. Par exemple entre le 6e et le 1Oe jour le nombre de cellules libres diminue nettement, tandis que celui de "concentrations d'hémocytes" est en augmentation (tableaux 2, 3, 4). Les variations dans la fréquence des différents éléments du sang et les nombreuses formes de transition toujours présentes suggèrent divers cycles évolutifs des hémocytes (fig. 5). Le problème des possibilités de renouvellement des hémocytes est discuté. La multiplication de ces cellules par voie amitotique est rare...

On étudie ici les régulations nombreuses survenant autour des cellules d'un rayon de cire d'Apis mellifica, lorsqu'une destruction partielle ou totale y a été pratiquée, lorsqu'un obstacle quelconque y est inséré. 1° On note que les irrégularités de cellules sont généralement éliminées d'une façon rapide par les nombreuses abeilles qui visitent sans cesse les cellules : les insectes sont capable de percevoir rapidement les faibles variations de l'épaisseur et de la rugosité des cloisons. 2° Les abeilles bouchent facilement les orifices, même important , percés dans les fonds ou dans les parois des alvéoles et se servent pour cela de cire vierge et de cire récupérée sur les rayons (cf. au si MEYER). Les reconstructions se divisent toujours en deux temps : a) apport des matériaux informes sur les parties détruites; b) sculpture de l'ensemble par raclage des mandibules. 3° Les cellules écrasée sont réparées beaucoup moins vite. Les abeilles détruisent d'abord les parois anormales, puis les reconstruisent. Cependant, lorsque l'écrasement a été très important, les rayons, établis sur les fonds des cellules d'ouvrières, présentent de nombreuses cellules de colmatage, et les rayons, rebâtis sur les fonds des cellules de mâles...

Au cours de recherches sur les rapports existant entre le Lavandin et l'Abeille, nous avons été conduits à examiner en rapport avec l'évolution florale de la plante, les évolutions du rendement et de l'indice de réfraction des essences obtenues par des distillations successives. Ces travaux ont porté sur la variété de Lavandin "Z" ·sélectionnée au Domaine de Puberclaire (B.-A.), et cultivée au Laboratoire Apicole de Nice (A.-M.). Les 200 plants mis en place en 1951 ont atteint au moment des essais en 1957 leur plein développement.

L'étude au microscope électronique du muscle alaire de l'Abeille Apis mellifica nous a permis d'apporter certaines précisions sur l'ultrastucture de ce muscle. En particulier nous avons pu étudier les connexions existant entre les filaments primaires et la strie Z, en l'absence de bande I. Les muscles ont été fixés au tétroxyde d'osmium, déshydratés à l'alcool éthylique et inclus dans l'araldite selon la technique de Glauert et Glauert (11). Les coupes minces ont été effectuées au microtome Porter Blum et colorées à l'acide phosphotungstique en solution alcoolique durant 5 mn. Les clichés ont été pris au microscope RCA EMU-3C.

Considération d’ensemble. Cette expérimentation clinique de 134 cas suscite quelques remarques : D'abord, la concordance des pourcentages d'échecs et de réussites pour les deux modes d'administration: parentérale et perlinguale. L'échec de certaines cures de consolidation par glossettes chez des malades traités au préalable par injections n'est pas très significatif car d'autres cures du même genre ont donné d'excellents résultats. Par ailleurs, en comparant les résultats obtenus chez les jeunes et les sénescents, on constate que la voie parentérale paraît beaucoup plus active chez les premiers, donc beaucoup plus sûre, que la voie perlinguale (à rapprocher des données de l'expérimentation animale). II n'en est pas de même chez les vieillards. Pour eux, les deux modes d'administration paraissent valables sans qu'on puisse préjuger du plus efficace. Peut-être vaut-il mieux utiliser toutefois la voie transcutanée dans la vieillesse quand on se trouve en face de sujets particulièrement fatigués. D'autre part, les résultats acquis se sont révélés très durables, dans l'ensemble, malgré le polymorphisme des cas traités. Enfin, nous avons étudié systématiquement les variations de la tension artérielle au cours de tous ces traitements. Elles n'ont guère été notables que chez les malades ayant bénéficié d'une reprise de poids et de l'état général marqué. Ceux-là présentaient une hypotension pour la plupart en relation avec leur dépression psycho-physique. Nous avons traité de nombreux vieillards aux tensions artérielles relativement élevées sans -constater de poussées tensionnelles notables. Sans vouloir conclure...